7 raisons d’aimer la laine d’alpaga

Alpaca - Sol Alpaca - Michell & Cia

Quand les températures dégringolent, la laine d’alpaga devient notre meilleure amie. Chaude, douce, robuste, elle nous réconforte, nous garde au sec, et nous ferait presque apprécier le froid des rudes journées hivernales. Découvrez pourquoi vous ne devriez porter que des tenues confectionnées dans cette fibre aux multiples qualités.

Une fibre haut de gamme

Appréciée depuis des millénaires par les Incas en raison de ses propriétés – finesse, chaleur et versatilité –, la fibre des dieux, comme ils la surnommaient alors, n’était portée que par la royauté. Aujourd’hui, l’engouement pour cette matière haut de gamme ne se tarit pas, que ce soit au Pérou et bien au-delà!

Avec le temps, l’art de travailler cette laine a été perfectionnée, bien sûr. Rassemblée par des milliers de familles d'éleveurs dans les Andes, elle est soumise à un processus de classement manuel par des centaines de maîtres artisans qui suivent des techniques ancestrales, obtenant une grande variété de finesse et de couleurs. Chez SOL ALPACA, nous utilisons le fin du fin de cette matière pour nos collections, à savoir les laines les plus douces : Bébé Alpaga, Bébé Alpaca Suri et Super Bébé Alpaga.


Une fibre idéale par temps froid

Vous voulez en finir avec les pieds froids en hiver? Alors la laine d'alpaga est faite pour vous! Eh oui, cette matière, véritable isolant thermique, nous garde bien au chaud, absorbe efficacement l’humidité et laisse ainsi nos petons au sec.
Un autre avantage, et non des moindres, si comme moi, vous vous prenez constamment des petits chocs électriques durant la saison froide : la fibre d’alpaga élimine l’accumulation d'électricité statique! Plus de craintes à avoir lorsque vous ouvrirez la porte de votre auto!

Une fibre éclatante

La laine d’alpaga se compose d’une trentaine de couleurs naturelles (trente-deux pour être précise). En réalité, les mélanges de fibres peuvent produire un nombre infini de couleurs. Ce qu’on aime aussi chez la toison de notre sympathique camélidé, c’est son lustre et son éclat naturel qui lui confèrent une belle apparence et une sublime texture même après avoir été teinte.

Une fibre amie des peaux délicates

Pour les peaux sensibles et sujettes au rougeur, vous pouvez l’adopter les yeux fermés. Anallergique, elle ne pique ni ne gratte, car contrairement à d’autres types de laine, la lanoline – une sorte de cire qui protège la laine pour la rendre imperméable, souvent responsable des réactions allergiques – n’est pas présente chez l’alpaga.
C’est aussi le diamètre des fibres qui détermine le niveau de sensibilité aux laines. Plus celui-ci est épais, plus la laine va piquer, et vice versa. Le diamètre de la fibre de l'alpaga varie entre 12 et 32 microns, alors que celui du mouton peut atteindre les 80 microns!

La fibre d’alpaga est douce et délicate au toucher. Sa douceur varie également en fonction de l’âge de l’animal. Vous ne serez pas étonnés d’apprendre que la toison d’un bébé alpaga est davantage plus douce que celle d’un adulte!

Une fibre à l’empreinte écologique réduite

Élevé en pleine nature, l’alpaga ne produit que très peu de gaz à effet de serre (il mange peu et sa digestion est très efficace) et ne déracine pas les végétaux dont il se nourrit.

Il n’endommage pas le sol en piétinant car ses pattes sont formées d’un coussinet mou qui n’abîme pas la terre lors de son passage.

Sa fibre est également éco-responsable puisqu’elle ne nécessite pas de traitement chimique et encore moins de blanchiment.

Enfin, sa tonte ne se réalise qu’une fois par an; on considère en moyenne que l’animal produit environ 2,5 kg de laine par an, ce qui en fait une matière relativement rare.

Une fibre assez facile d’entretien

Certes, elle est robuste et résistante, néanmoins, elle mérite qu’on la traite avec le plus grand soin Le mieux est de laver son vêtement à la la main, à l’eau froide, pour le dorloter au maximum. Autre option possible : le passer à la machine au cycle délicat en utilisant un shampooing doux ou un détergent spécial laine (attention, on bannit l’adoucissant). Pour le séchage, surtout pas de... sécheuse! On le laisse reposer à plat, sur une serviette, à l’ombre. Pas si compliqué, n’est-ce-pas?

Une fibre incomparable
Prêtons-nous tout de même un court instant au jeu des comparaisons : alpaga contre mouton et cachemire.

À la différence du mouton, la toison d’un alpaga ne contient pas de suint (la graisse sécrétée par la peau du mouton et se mêlant à la laine), elle est dite sèche. Elle ne perd donc que très peu de poids au lavage lors de sa transformation. Sa fibre serait jusqu’à trois fois plus résistante et sept fois plus chaude que celle du bovidé frisé.

Et, n’oubliez pas ce que j’ai dit plus haut, la laine du mouton a tendance à piquer alors que c’est tout l’opposé de l’alpaga.
Passons au cachemire maintenant. On le sait toutes, c’est une étoffe relativement coûteuse et délicate à entretenir. À qualité égale, les vêtements en alpaga sont plus accessibles et facilement lavables. Ils résistent aussi mieux à l’usure du temps, ne se rompent pas, ni ne boulochent.

Dernier point, le cachemire offre un taux d’absorption de l’humidité de l’ordre de 15 %... alors que celui du gentil alpaga absorbe l’humidité au maximum.

Avec tout cela, si vous n’êtes pas encore convaincus! Découvrez notre collection !

Écrit par Pauline Ponchaux
Traduit du français par Jonelle Larouche

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